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75 catamarans à moteur à louer chez The Moorings, aux Caraïbes et en Méditerranée

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75 catamarans à moteur à louer chez The Moorings, aux Caraïbes et en Méditerranée

La société de location de bateaux de plaisance met en avant sa position de leader, sur le marché des catamarans à moteur, à partir de ses bases des Caraïbes, de Croatie, de Grèce et de Turquie.

De fait, The Moorings propose à la location près de 75 catamarans à moteur, un marché en fort développement, du fait du confort, de l'espace et de la vitesse qu'ils procurent.

Cette année, la flotte de The Moorings s'est enrichie du  nouveau 514 Powercat, qui vient renforcer les 474 PC et du 393 PC, tous trois construits aux chantiers Robertson & Caine, en Afrique du Sud (TUI Marine).

La société propose ces bateaux à partir des ses bases situées aux Caraïbes (Bahamas, Îles Vierges Britanniques, St-Martin, Grenade, Belize.) et en Méditerranée (Croatie, Grèce; Turquie), avec ou sans équipages dans la plupart des destinations. 

Emmanuel Allot, Directeur commercial Moorings, explique sur ActuNautique.com, les raisons de l'engouement actuels des plaisanciers pour la location de catamarans à moteur : "Depuis deux ans maintenant, la demande est en très net croissance et nous manquons de disponibilité l’été en méditerranée. Il y a là un réel intérêt pour ce type de bateau et les croisières qu’ils permettent. Axé sur la rapidité, le confort, ils offrent en plus un sentiment de liberté et de sécurité, pour profiter au maximum de chaque instant de la croisière et des escales. Les catamarans à moteur The Moorings correspondent a une nouvelle façon de naviguer".


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Focus sur le 514 Powercat, le dernier né de la flotte

Le 514 Powercat a bénéficié d’un travail de recherche portant sur le confort au mouillage et en mer, la motorisation, la consommation de carburant et les performances. 

A bord, confort et luxe sont à l’honneur. Sa plateforme de vie est mise en valeur par un aménagement épuré et moderne, dont les teintes claires accentuent l’impression d’espace. Les innovations portent sur l’apparition du cockpit avant, d’un fly au dessin plus contemporain, d’un solarium sur l’avancée de la casquette qui protège le cockpit avant. L’aménagement est spacieux, le design plus moderne, avec un salon ouvert vers la mer.

Depuis grand salon, les passagers ont une vue à 360 degrés sur la mer et peuvent accéder directement au cockpit avant. 

Face au cockpit arrière, la cuisine est entièrement équipée. Chacune des quatre cabines doubles dispose d’une salle d’eau et de toilettes privatives. Le salon de pont du Fly bridge est équipé aussi d’un frigo et d’un barbecue.La plateforme hydraulique située à l’arrière du cockpit facilite grandement les manœuvres pour mettre l’annexe à l’eau.

A noter que ce modèle est disponible cet hiver aux îles Vierges et aux Bahamas, et au printemps à St Martin, à la Grenade et au Belize.


VIDEO - un porte conteneurs bascule et perd sa cargaison à Shanghai

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VIDEO - un porte conteneurs bascule et perd sa cargaison à ShanghaiVIDEO - un porte conteneurs bascule et perd sa cargaison à Shanghai

Accident rarissime, au cours duquel personne n'a heureusement été blessé !

Mercredi 12 novembre dernier, un petit porte conteneurs amarré dans le port de Shanghai (Chine), a perdu près d'une trentaine de ses containers, suite à un mouvement de tangage dont la cause n'a pas été déterminée.

Une partie de la cargaison est tombée en mer, tandis que le reste s'est écrasé sur le quai, détruisant au passage une ligne à haute tension et détruisant au passage un camion à bord duquel il n'y avait heureusement personne !

Route du Rhum - l'Espagnol Alex Pella s'impose en Class 40

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Route du Rhum - l'Espagnol Alex Pella s'impose en Class 40
Route du Rhum - l'Espagnol Alex Pella s'impose en Class 40Route du Rhum - l'Espagnol Alex Pella s'impose en Class 40

Alex Pella sur son Class 40, est le premier Espagnol à remporter la Route du Rhum !

Fort d'une solide réputation dans le monde de la course au large, Alex Pella n'aura jamais fait mentir son statut de favori dans cette dixième édition de la Route du Rhum.

Dès le départ de la course, le skipper catalan sur Tales 2 - Santander a su se placer aux avants postes, et ce ne sont pas quelques dégâts en début de course, notamment un solent déchiré, qui l'arrêteront !

Ce touche-à-tout polyvalent, qui barre comme il répare, confirme ainsi très tôt qu'il faudra compter avec lui jusqu'au bout sur cette Route du Rhum et quand Sébastien Rogues (GDF-SUEZ), l'un des autres grands prétendants à la victoire est contrain,t d'abandonner, il se place, aux côtés de Thibaut Vauchel-Camus (Solidaires en Peloton) et de Kito de Pavant (Otio – Bastide Médical), dans le petit trio de leaders qui va dès lors creuser de gros écarts avec le reste deu peloton des Class 40.

Pas d'armistice pour lui le 11 novembre, car c'est ce jour qu'il attaque, malgré une copieuse ligne de grains, et qu'il s'empare de la tête de la course qu'il ne la lâchera plus jusqu'à la ligne d'arrivée ! Trois jours avant l'arrivée, il fait le break en reléguant ses plus proches poursuivants à plus de 100 milles derrière.

Pour une première participation, Alex Pella signe u coup de maître, une course parfaite, récompensant une préparation qui n'a rien laissé au hasard pour porter un projet 100% espagnol performant sur les devants de la scène océanique. 


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Mise à l'eau du Lyrial, le 4e paquebot de la Compagnie du Ponant

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Mise à l'eau du Lyrial, le 4e paquebot de la Compagnie du Ponant
Mise à l'eau du Lyrial, le 4e paquebot de la Compagnie du PonantMise à l'eau du Lyrial, le 4e paquebot de la Compagnie du Ponant

Après Le Boréal (2010), L’Austral (2011) et Le Soléal (2013), le lancement du Lyrial, le 24 octobre dernier, vient clôturer une série unique de 4 paquebots-yachts d’exception.

Comme ses sisterships construits eux aussi en Italie, chez Fincantieri, le Lyrial incarne cette atmosphère subtile, alliance de luxe, d’intimité et de bien-être, qui fait la signature de la compagnie, si rare dans le domaine des croisières, secteur qui s'est définitivement tourné vers le tourisme de masse et ses paquebots immeubles géants, mélanges improbables de rues commerçantes et de casinos populaires.

Il n'en est rien pour la Compagnie du Ponant qui porte haut les couleurs de croisières de luxe à la française, à bord de paquebots à taille humaine où le luxe ne s'affiche pas aux kilos de dorure qui ornent les cloisons de ses navires.

Ainsi, le Lyrial présente des lignes extérieures et intérieures tout en sobriété et raffinement, renforcées par sa taille intimiste (122 cabines et suites seulement, contre 132 pour les sisterships), qui en font un navire rare et innovant sur le marché des navires de croisières, donnant le sentiment de naviguer à bord d’un yacht privé.

Confié à Jean-Philippe Nuel, le design intérieur du navire, chaleureux et contemporain, évoque la palette des destinations de la compagnie et la lumière bleue de l’étoile Vega, présente dans la constellation de la Lyre, dont Le Lyrial tire son nom. 

Une déclinaison subtile de bleus, allant de la douceur grisée et lumineuse des glaces polaires aux notes vives et turquoise des criques méditerranéennes.

À bord, tout est fait pour préserver l’indépendance et les goûts de chacun : deux restaurants, deux bars intérieurs et un bar extérieur, l’espace détente du pont piscine, des salons, un théâtre pour les conférences, les projections de films et les spectacles, un espace Beauté et Forme, une bibliothèque, un espace Internet, un espace loisirs équipé de consoles Wii et jeux de société et partout des lieux intimes pour échanger ou se détendre en toute tranquillité.

Le pont 6 du Lyrial dispose de grandes suites, pouvant aller jusqu’à 54 m2 pour la Suite de l’Armateur qui possède également un balcon privé de 12 m2.

Plonger dans les eaux cristallines de l’Adriatique depuis la marina du navire, profiter d’une matinée au soleil sur la célèbre plage de Navagio accessible uniquement par la mer, explorer la côte slovène en vélo, savourer un concerto en plein cœur de la Mer Egée, tel sera le programme proposé par le Lyrial dans les mois qui viennent en Méditerranée !

De l’Italie à la Turquie, en passant par la Croatie, le Monténégro etla Grèce, la petite taille du Lyrial lui permettra d’accéder aussi bienaux ports les plus emblématiques qu’aux escales les plus secrètes,inaccessibles aux grands navires.

Route du Rhum - Anne Caseneuve remporte la victoire en Classe Rhum et bat le record

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Photos : A. Courcoux
Photos : A. CourcouxPhotos : A. Courcoux

Photos : A. Courcoux

Hier mercredi 19 novembre à 21h 06'03'', Anne Caseneuve a franchi la ligne d'arrivée de la dixième Route du Rhum en première position de la Classe Rhum, classe qui regroupe d'anciens bateaux ou des bateaux inclassables, et qui rassemblait sur cette édition six multicoques et quatorze monocoques.

La skippeuse d'Aneo a mis 17 jours 07 heures 06 minutes et 03 secondes pour boucler les 4 740 milles  entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre à la vitesse moyenne de 11,42 nœuds.

La navigatrice morbihannaise a parfaitement assuré son rôle de favorite dans cette Classe Rhum qu'elle a rejoint pour cette dixième édition de la Route du rhum-Destination Guadeloupe après avoir animé la Classe2 Multi en 1998 (24ème) et 2002 (2ème), puis après un abandon en 2006, la classe Multi50 en 2010 (7ème). 

Sur son trimaran de 50 pieds, Anne Caseneuve ne semblait en effet pas avoir de réel adversaire puisque les cinq autre trimarans en lice étaient soit beaucoup plus petits (moins de 12 mètres) soit conçus pour... la croisière !!

Quant aux quatorze monocoques, seul le 50 pieds d'Andrea Mura (Vento di Sardegna) pouvait prétendre lui tenir tête, du moins sur la première phase du parcours. Car dans les alizés, l'Italien tenant du titre ne devait, sur le papier, pas tenir le rythme d'un multicoque aussi long.

Pour autant, la Route du Rhum n'est jamais un long fleuve tranquille et les pronostics à terre sont souvent loin de refléter la réalité sur l'eau : plusieurs favoris dans toutes les autres classes ont d'ailleurs dû abandonner ! Ce ne fut pas le cas pour Anne Caseneuve qui a su parfaitement maîtriser sa course en passant en douceur la première nuit de mer : après la bouée du cap Fréhel, Aneo rejoint rapidement la tête de la flotte et se glisse entre le DST et l'île d'Ouessant pour entamer sa longue descente vers le cap Finisterre.

D'entrée de jeu, la skippeuse montre qu'elle a un plan stratégique clair en piquant vers le Sud quand l'Italien choisit la route directe passant par les Açores.

Le match tourne alors au duel car les poursuivants d'Anne Caseneuve sont déjà à plus de 90 milles derrière à la sortie du golfe de Gascogne quand Andrea Mura pointé en tête au classement, est près de 200 milles plus au large de l'Espagne ! La skippeuse perdure alors dans sa grande descente vers le Sud, d'abord vers Madère, puis après un recalage vers l'Ouest, en direction des Canaries. L'objet est de glisser le plus vite possible vers des alizés très bas en latitude car une dorsale est en train de se constituer dans l'Est des Açores…

La Morbihannaise en termine donc après 17 jours 07 heures 06 minutes 03 secondes, soit plus de deux jours de mieux que le tenant du titre italien Andrea Mura en 2010 (19j 09h 40' 30). Chapeau bas !


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Au sujet d'Aneo, le trimaran d'Anne Caseneuve

Conçu et construit par Christophe Houdet et Jack Mitchel, Aneo est un puzzle de pièces composites récupérées sur différents multicoques, dont Fujicolor l’un des trimarans de 60 pieds dessinés par Nigel Irens (coque centrale) et Groupama (flotteurs).

Robuste et très marin grâce aux importants volumes de ses flotteurs, ce bateau a déjà participé à la Route du Rhum, à la Transat Jacques Vabre, à la transat anglaise. Il a été entièrement revisité cet hiver par Aubin Houdet et remis à l’eau après cinq mois de chantier en mai dernier.

Sa robe rose a ainsi été troquée contre une nouvelle décoration orange vif aux couleurs de son partenaire, Aneo.

Thons rouges - les ONG inquiètes du relèvement des quotas de pêche

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Thons rouge en Méditerranée - Brian J. Skerry / National Geographic Stock / WWF

Thons rouge en Méditerranée - Brian J. Skerry / National Geographic Stock / WWF

Les quotas de pêche de thons rouges ont été relevés, suite à la reconstitution des stocks observée en Méditerranée et en Atlantique Est.

C'est parce qu'il se porte mieux que le thon rouge sera plus pêché, et s'il se porte mieux, c'est du fait des très fortes restrictions de pêche dont il faisait l'objet depuis 2007 !

La 19e réunion extraordinaire de la Commisson Internationale pour la Conservation des Thonidés de l'Atlantique (Iccat), qui réunit 47 pays plus l'Union Européenne, vient en effet de décider d'augmenter les prises annuelles de thons rouges, actuellement de 13500 tonnes, de 20% en 2015 et en 2016, puis de 20% supplémentaires en 2017, sous réserve de nouvelles estimations scientifiques.

Selon les dernières données scientifiques collectées, le stock de thons rouges reproducteurs serait passé de 150 000 tonnes en 2008 à 585 000 tonnes actuellement.

Maintenir l'espèce et garantir sa pérénité nécessiterait toutefois de na pas en prélever plus de 23 256 tonnes par an.

Si le niveau de 23 256 tonnes a immédiatement séduit l'Iccat, le partage de cette manne a fait l'objet d'intenses débats et tractations, notamment de la part des pays méditerranéens, ou l'Algérie et la Lybie vont bénéficier de rélèvements de leurs parts.

En Atlantique Est, où la conservation de l'espèce est très dégradée, le niveau de capture passera de 1700 à 2000 tonnes, ce, malgré un avis très réservé des experts.

Fait notable de cette réunion, l'Iccat n'a pas abordé la question de la pêche illégale, pourtant généralement traitée à cette occasion, ce qui n'a pas manqué d'inquiéter les ONG telles WWF.

Le Dr Sergi Tudela, responsable du Programme Pêche du WWF Méditerranée, a ainsidéclaré sur ActuNautique.com : "La réunion a été compliquée. Cela semble paradoxal, mais le cas du thon rouge nous confirme qu’il est parfois plus difficile de gérer un succès qu’une crise. Pour le WWF, considérer 20% d’augmentation annuelle sur les 3 années à venir comme une approche modérée est loin d’être décent. Nous sommes préoccupés à l’idée que les immenses efforts de conservation qui ont été menés ces dernières années puissent disparaître rapidement."

Le Dr. Gemma Quílez-Badia, Chargée de Programme Pêche au WWF Méditerranée a quant à elle précisé : "Il est maintenant temps que tous les acteurs de la chaîne du thon rouge - pêcheurs, distributeurs et consommateurs - prennent pleinement leurs responsabilités pour garantir la complète récupération de la population sur le long terme. Le WWF encourage les pêcheries de thon rouge à démontrer qu’elles répondent pleinement aux critères de durabilité et de traçabilité".


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Route du Rhum - podium éclectique en Class 40

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Alex Pella, Thibaut Vauchel-Camus et Kio de Pavant, le podium Class40 de la 10e édition de la Route du Rhum - photos : A Courcoux
Alex Pella, Thibaut Vauchel-Camus et Kio de Pavant, le podium Class40 de la 10e édition de la Route du Rhum - photos : A CourcouxAlex Pella, Thibaut Vauchel-Camus et Kio de Pavant, le podium Class40 de la 10e édition de la Route du Rhum - photos : A Courcoux

Alex Pella, Thibaut Vauchel-Camus et Kio de Pavant, le podium Class40 de la 10e édition de la Route du Rhum - photos : A Courcoux

Mon premier est un Espagnol qui a survolé la flotte, mon deuxième est un as du catamaran de sport, mon troisième est un vieux briscard à l'expérience bien trempée… Qui suis-je ?

Le podium Class40 de cette dixième édition de la Route du Rhum affiche un éclectisme de bon aloi, et après le Catalan Alex Pella (Tales 2 Santander), premier à couper la ligne d'arrivée à Pointe-à-Pitre tôt hier matin, ce fut au tour de Thibaut Vauchel-Camus (Solidaires en peloton), puis de Kito de Pavant (Otio – Bastide Médical) de fouler le tapis rouge devant la place de la Victoire. 

De l'éclectisme donc, mais aussi de la fraîcheur et un talent fou, caractérisent ce podium  de la Class40 !

Avec un premier fait certain : l'Espagnol Alex Pella, hilare à son arrivée mercredi matin,  qui n'aura fait qu'une bouchée de ses deux poursuivants : plus de 10 heures d'écart par rapport à son dauphin, Thibaut Vauchel-Camus ! 

Ce dernier réalise une superbe performance sur sa première Route du Rhum, devant un Kito de Pavant, qui a remarquablement navigué sur un bateau pourtant moins rapide…

Thibaut Vauchel-Camus, le bizuth qui a créé la surprise

A la barre de son Mach40, ce spécialiste du catamaran de sport (Champion de France de Formule 18) a su parier sur une option osée dès le golfe de Gascogne et s'est propulsé en tête lorsque le vent a basculé aux allures portantes. Le fameux coup de la cuillère au chapitre duquel il persiste et signe au large des côtes de la péninsule ibérique. Le skipper de Solidaires en peloton va dès lors poursuivre sa course comme il l'a commencée. Fort de la confiance emmagasinée au fil des milles en tenant le rythme imposé par des marins chevronnés, Thibaut Vauchel-Camus s'accroche, quand il anticipe le passage de la dorsale anticyclonique et se retrouve relégué en en 4è position, à 80 milles de la tête de flotte. Il va ensuite de nouveau miser sur le Sud et revenir au contact, jusqu'à ce qu'Alex Pella, très combatif dans une ligne de grains, finit par prendre les devants. Parfaitement en phase avec son bateau, Thibaut ne cède rien dans la bataille d'empannages qui l'oppose au très expérimenté Kito de Pavant. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître. 

Le grand retour de Kito de Pavant

De retour sur le Rhum après sa participation en 2010 en Imoca où il a été contraint à l'abandon sur avarie de quille, Kito de Pavant a quant à lui tenu toutes ses promesses à bord d'un petit bateau de 12,18 mètres. 

Mieux, il a retrouvé une place digne de son expérience après six années en monocoque de 60 pieds marquées par de nombreuses déconvenues lors de ses tentatives de tours du monde. 

C'est dire, si ce retour sur la grande transat en solitaire revêtait une importance particulière pour le skipper méditerranéen, qui avait à cœur de briller dans le cadre de ce projet « Made In Midi » qu'il porte avec conviction. 


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C'est parti pour l'Atlantic Odyssey 2014 !

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C'est parti pour l'Atlantic Odyssey 2014 !
C'est parti pour l'Atlantic Odyssey 2014 !

Dimanche 16 novembre, 31 voiliers de l'Atlantic Odyssey ont franchi la ligne de départ devant Arrecife en direction de la Martinique, à quelques 2750 milles de là.

Ce rallye à la voile se présente comme le plus grand événement nautique jamais parti de l’île de Lanzarote aux Canaries.

Dix sept nationalités étaient représentées parmi les équipages, et 15 bateaux naviguaient en famille avec des enfants à bord. Les conditions étaient parfaites pour le départ, avec 12 nœuds de vent de nord-est. Sephina, un Lagoon 400 australien appartenant à Robert Monteith et Jennifer Mallengier a passé la ligne le premier, arborant un élégant Parasailor bleu et blanc. 

Cependant, comme il était quelques secondes en avance, le premier bateau à franchir la ligne après le signal officiel de départ à 12h00 a été Gazel Rebel, le Pogo 8.50 français de Damien Chambolle, Antoine Cassard et Pierre Mondain-Monval, ajoutant sa touche de couleurs avec sa coque jaune et son spinnaker asymétrique rose.

La plupart des bateaux ont pris un cap sud-ouest pour quitter les îles Canaries au plus vite dans l'espoir de trouver les alizés vers la latitude des îles du Cap-Vert. La traversée de l'Atlantique durera de 14 à 22 jours selon la vitesse des bateaux, dont on peut suivre la progression en ligne. Quatre voiliers ont quitté Arrecife un jour plus tard, retardés par des problèmes techniques, portant le total des bateaux en mer à 35.

La première Atlantic Odyssey a été lancée en 2013 par Jimmy Cornell, par ailleurs inventeur du concept de rallye de grande croisière quand il a fondé l'ARC (Atlantic Rally for Cruisers) en 1986, et qui semble avoir du mal à décrocher depuis lors !


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Cette troisième édition de l'Atlantic Odyssey, avec une grande convivialité et une belle solidarité entre les participants, illustre parfaitement le concept de ces Odysseys : un rallye sans compétition, de dimension raisonnable et à l'ambiance familiale. Pendant la semaine précédent le départ, Marina Lanzarote hébergeait une série de séminaires proposés gratuitement à tous les navigateurs de la marina, même s'ils n'étaient pas inscrits à l'Atlantic Odyssey, dont le point d'orgue a été une démonstration d'utilisation de radeau de survie et une spectaculaire simulation de sauvetage par un hélicoptère dans les eaux même de la marina.

L'Atlantic Odyssey met en pratique sa devise ‘L'Océan - Notre Futur’ avec son programme scientifique mené en partenariat avec l'UNESCO-IOC. Suite au succès du déploiement de bouées dérivantes lors de l'Atlantic Odyssey 2013, trois bouées supplémentaires seront larguées dans l'Atlantique cette année. Les bouées envoient automatiquement par satellite des données météorologiques et océanographiques, rendant ainsi un service inestimable aux scientifiques qui étudient les océans. Devant l'enthousiasme des bateaux se portant volontaires pour déployer une de ces bouées, un tirage au sort a dû être effectué, dont les heureux gagnants sont tous des bateaux avec enfants à bord : OM de Nouvelle-Zélande, Alytes d'Allemagne, et Mandarina de France.



 
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Route du Rhum - la Marine Nationale aux côtés des skippers à Pointe à Pitre

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Route du Rhum - la Marine Nationale aux côtés des skippers à Pointe à Pitre

A Pointe-à-Pitre, les marins de la Marine Nationale partagent leur passion de la mer avec les skippers et le grand public.

La Marine est naturellement liée avec le monde de la voile et cette relation étroite de longue date trouve ses racines dans la solidarité qui unit tous les «gens de mer».

Skippers professionnels, amoureux de la voile et marins de la Marine Nationale partagent les mêmes valeurs dans un environnement commun, la Royale concrétisant son attachement au monde de la voile en étant partenaire institutionnel des grandes courses au large comme la Route du Rhum.


=> lire aussi : plus de 50 articles sur la Route du Rhum 2014 !
 

 

Ainsi à Saint-Malo, le 2 novembre dernier, le départ de la course a été donné depuis le patrouilleur de service public Pluvier, tandis que le remorqueur portuaire côtier Maïto escorte et assure actuellement la sécurité des concurrents sur les derniers nautiques de leur arrivée à Pointe-à-Pitre.

Un engagement à côté duquel la rédaction d'ActuNautique.com ne pouvait passer, car il constitue à n'en pas douter, l'une des meilleures occasions pour le public présent, d’aller à la rencontre des équipages de la Marine, pour mieux comprendre leurs métiers et les missions qu’ils exercent sur toutes les mers du globe.


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Downsizing pour le nouveau moteur hors-bord 200cv de Suzuki Marine

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Downsizing pour le nouveau moteur hors-bord 200cv de Suzuki Marine
Downsizing pour le nouveau moteur hors-bord 200cv de Suzuki MarineDownsizing pour le nouveau moteur hors-bord 200cv de Suzuki MarineDownsizing pour le nouveau moteur hors-bord 200cv de Suzuki Marine

Le constructeur nippon vient de dévoiler son tout nouveau moteur hors-bord 4 cylindres, le DF200A.

Lorsque Suzuki a lancé sa gamme de moteurs hors-bord quatre temps il y a 15 ans, le constructeur inaugurait nombre de technologies révolutionnaires pour l'époque, et tenues aujourd'hui pour acquises. 

En particulier l'injection sur ses moteurs quatre temps, l'adoption de collecteurs d'admission à tubulure longue mais aussi le fait que lesdits moteurs avaient été conçus conformément aux dimensions de montage reconnues dans l'industrie...

Cette culture technique propre à Suzuki se retrouve donc sur son tout dernier bébé, le DF200A, qui se veut, selon son constructeur, aussi performant qu'un 6 cylindres, mais avec 2 cylindres de moins !

A l'instar de l'automobile, le downsizing est donc de mise dans le nautisme et l'on ne s'en plaindra pas, les économies d'utilisation et d'entretien étant toujours bonnes à prendre pour les plaisanciers, par les temps qui courrent !

Disposant d'une cylindrée de 2867 cm3, le DF200A dispose de deux abres à cames en tête, d'une admission d'air directe et d'un calage variable, tout comme de la technologie « Lean Burn Control » destinée à réduire la consommation de carburant (-32% selon Suzuki à 5000 tr/min par rapport à l'actuel V6). Il ne pèse que 225kg, soit 12% de moins que l'actuel V6 DF200 !

Son taux de compression de 10,3/1 contribue aux bonnes performances de ce moteur., car en l'augmentant de 9,7 %, les ingénieurs de Suzuki ont considérablement amélioré la puissance de ce moteur.

Outre le DF200A, Suzuki lance également le DF200AP qui bénéficie de technologies complémentaires. Le DF200AP sera ainsi le premier hors-bord de 200 ch du marché à intégrer les commandes électroniques Suzuki Precision Control (SPC) et la rotation sélective Suzuki (SSR). Avec ce dernier dispositif, les concessionnaires pourront configurer les moteurs en mode rotatif normal et en mode contre-rotatif, grâce à des engrenages spéciaux dans leur pied et aux commandes de sélection électroniques.

Le DF200AP reçoit un système de démarrage sans clé utilisant un émetteur codé pour transmettre un code d'accès au système de démarrage du moteur. Lorsque l'émetteur se situe dans un rayon de 1,5 m du module principal du système de démarrage, il suffit à l'utilisateur d'activer le commutateur de démarrage et de lancer le moteur par simple appui sur un bouton. Lorsque la navigation est terminée, l'utilisateur peut arrêter le moteur, désactiver le commutateur de démarrage et quitter le bateau.

A noter que le moteur hors-bord Suzuki DF200A sera commercialisé d'ici la fin de l'année, tandis que le DF200AP sera disponible début 2015.

VIDEO - un voilier percute un pont mobile

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VIDEO - un voilier percute un pont mobileVIDEO - un voilier percute un pont mobile

Il y a des moments où il faut avoir prendre son temps avant de s'engager sous un pont mobile !

Comme le montre cette vidéo, deux voiliers tentent de passer sous un pont mobile, sans avoir sans doute remarqué qu'il s'abaissait, ou sans s'être rendus compte de sa vitesse de redescente !

Toujours est-il que cette erreur d'appréciation sera fatale au gréement du premier, le second voilier ayant in-extremis réussi à dévier de sa route, en s'arrêtant à la force de son moteur.

La Société Nautique de Marseille (SNM) une nouvelle fois récompensée

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La Société Nautique de Marseille (SNM) une nouvelle fois récompensée

La Société Nautique de Marseille (SNM) sacrée meilleur Yacht Club français en IRC pour la 4e fois d'affilée.

Après ses trois titres obtenus en 2011, en 2012 et en 2013 la "Nautique" de Marseille est de nouveau honorée par l’UNCL (Union Nationale de la Course au Large) en cette fin d’année 2014. 

Raymond Lamberti, le président de la Société Nautique de Marseille recevra le prix de meilleur club français IRC 2014, lors de la nuit de la Course au Large, au Salon Nautique de Paris.

“Ce titre représente une très grande fierté pour la Société Nautique de Marseille", évoque Raymond Lamberti pour ActuNautiqu.com. "La jauge IRC permet de faire courir l’élite de la voile habitable sur toute la France (Manche, Atlantique et Méditerranée). Cette récompense couronne le travail accompli depuis huit ans, lorsque nous avons créé le pôle course. Le fait d’obtenir cette distinction pour la quatrième année consécutive n’est pas un hasard…“

Il y a quatre ans, Philippe Peytou, vice-président en charge de l’activité sportive et Pierre-Alain Tocci ont mis en place le pôle course, en y mettant des moyens financiers et des moyens humains. La vingtaine de bateaux de la Nautique qui régate en IRC possède désormais des équipages aguerris, un peu plus, chaque année.

“On est sur la deuxième marche du podium, on est vice-champion de France, et c’est une belle satisfaction“ explique Dominique Tian (Glen Ellen V), l’un des fers de lance du club.

“Cette réussite est le baromètre de la vitalité et l’énergie d’un club“ estime Pierre-Alain Tocci, l’un des acteurs de ce succès en mer et à terre. “Nous avons créé le pôle course pour permettre aux compétiteurs, en début d’année, de bénéficier de sessions de travail (théoriques puis pratiques sur l’eau), avec la participation d’intervenants extérieurs (skippers de haut niveau, juges…) qui permettent aux équipages amateurs de rivaliser un peu plus, chaque année, avec les équipages professionnels. Il existe une véritable émulation et une solidarité entre tous. Un exemple ? On a terminé devant Jin Tonic en IRC3, on leur a donc piqué la place en finale. Ils nous ont prêté du matériel pour la finale et ils étaient sur l’eau pour nous encourager…“

Avec ce titre obtenu pour la quatrième année consécutive grâce aux performances de Glen Ellen V, Tahina Socafluid et Alizée, (le classement final se fait sur les trois meilleurs bateaux) la Nautique conforte sa réputation de club régatier. “C’est inscrit dans nos statuts et… dans nos gènes", sourit Pierre-Alain Tocci. "En hiver, quand tout le monde est au ski, on est sur l’eau…“

“L’organisation de ce championnat et ce quatrième titre prouvent que nous sommes sur la bonne voie", conclut le président Lamberti. "Mais cela représente également la reconnaissance de notre travail au quotidien. Un pôle course qui nous permet d’obtenir d’excellents résultats et que nous allons continuer à développer, mais aussi l’animation du plan d’eau de la rade marseillaise avec des régates de niveau national et international, et une équipe de bénévoles très pro'. Organiser des évènements de qualité sur terre et sur mer, nous le devons à nos partenaires comme la Banque Populaire Provençal Corse et les institutionnels qui nous soutiennent et croient en nous. Continuons à démontrer que nous sommes dans le vrai.“travail au quotidien. Un pôle course qui nous permet d’obtenir d’excellents résultats et que nous allons continuer à développer, mais aussi l’animation du plan d’eau de la rade marseillaise avec des régates de niveau national et international, et une équipe de bénévoles très pro'. Organiser des évènements de qualité sur terre et sur mer, nous le devons à nos partenaires comme la Banque Populaire Provençal Corse et les institutionnels qui nous soutiennent et croient en nous. Continuons à démontrer que nous sommes dans le vrai.“


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BPC Mistral russes - les grandes craintes de Paris

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BPC Mistral russes - les grandes craintes de Paris

Le dossier des BPC vendus à la Russie met Paris dans l'embarras, qui craint leur éventuelle exfiltration à l'instar des "vedettes de Cherbourg israéliennes", et la perte de marchés d'armement bien plus importants.

En signant la vente de 2 portes hélicoptères de type Mistral à la Russie pour 1.2 milliard d'euros, l'ancien président Sarkozy aura réussi l'exploit, non seulement d'affaiblir Paris au sein de l'Otan, à la grande satisfaction de Moscou qui tente depuis des mois de destabiliser l'Union Européenne en particulier par ses manoeuvres en Estonie, en Serbie et en Hongrie, mais peut être aussi de faire perdre de très gros marchés d'armement à venir à la France, en particulier avec la Pologne et l'Australie.

Pour Tomasz Siemoniak, ministre polonais de la défense interrogé par nos confrères de "Rzeczpospolita", la livraison des deux Mistral à la Russie "n'aide pas" la Pologne à choisir un fournisseur français pour son système de défense anti-aérienne, alors que deux entreprises ont répondu à l'appel d'offres, le GIE français Eurosam, composé du missilier MBDA et de l'électronicien Thales et l'américain Raytheon.

En parallèle, l'Australie doit notifier en 2015 un marché gigantesque dans le domaine des sous-marins, qui consisterait à remplacer ses 6 Classe Collins par 10 à 12 unités nouvelles. Autant dire que ce marché est historique, près de 20 milliards de dollars, qui fait saliver tous les grands constructeurs mondiaux du secteur, et pour lequel DCNS pourrait avoir toutes ses chances avec ses tous nouveaux SMX Ocean... s'il n'avait pas vendu ses 2 Mistral à la Russie !

Un argument qui pourrait faire mouche du côté de Canberra, à la grande joie des Allemands de TKMS, des Suédois de Saab Kockums ou des Japonais, qui jusqu'à présent tenaient la corde, jusqu'aux dernières déclarations de Saab Kockums... 

En attendant de connaître la décision du président Hollande sur la livraison ou non des 2 Mistral et un éventuel plan B, Paris redouterait actuellement un scénario à l'israélienne pour le Vladivostok, en attente de livraison.

En 1969 en effet, devant de refus de Paris de livrer 12 vedettes commandées par Israel, suite à un embargo sur les ventes d'armes décidé par le Général de Gaulle consécutif à la guerre des 6 jours, des commandos de Tsahal exfiltrèrent lesdits bateaux du port de Cherbourg dans la nuit de Noël en toute discrétion, qui arrivèrent à Haïfa en héros.

Il s'avérera plus tard que Paris était parfaitement au courant de cette manoeuvre et préféra une humiliation officielle immédiate pour se sortir de ce guêpier, qu'une non livraison, les bateaux étant en partie payés, scénario peu glorieux mais qui eut l'avantage de ne pas se déjuger face au monde arabe.

Dans ce contexte, les marins russes actuellement à Saint Nazaire, s'ils peuvent monter périodiquement à bord du Vladivostok ne peuvent y installer leurs affaires et y vivre, ce qui matérialiserait un transfert de propriété.

A toutes fins utiles, le navire est protégé de tout départ intempestif par sa situation dans un bassin nécessitant un passage d'écluse, ce qui pourrait faire redouter des complicités extérieures mal placées en cas de départ inopiné. 

Les mesures de sécurté ont donc été renforcées...

En attendant, le Sébastopol, sistership du Vladivostok, a été mis à flot à Saint-Nazaire dans la nuit de jeudi à vendredi, en toute discrétion...


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Ouverture d'une voie maritime arctique entre la Finlande et la Corée du Sud

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Ouverture d'une voie maritime arctique entre la Finlande et la Corée du Sud

La Finlande et la Corée du Sud viennent de signer un protocole d'accord relatif à l'ouverture d'une voie maritime directe entre les deux pays, passant par le pôle Nord.

Ce protocole a été ratifié hier par les premiers ministres des deux pays, Chung Hong-won et Alexander Stubb, pour qui cette nouvelle voie maritime est stratégique en termes notamment de réduction des coûts de transport, de gain de temps et de baisse des gaz à effet de serre émis par les navires.

La Finlande, qui est membre du Conseil de l'Arctique, aux côtés du Canada, de la Russie, de la Norvège, du Danemark, de l'Islande, des États-Unis et de la Suède, possède un savoir-faire et des techniques avancées dans le domaine naval.

Autant de compétences et d'expériences qui seront bien utilises pour l'ouverture de cette ligne maritime arctique.


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Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau

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Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau
Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eauLe tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau
Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eauLe tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau

Mis à l'eau le 11 novembre dernier, Seawolf, le premier Wally 50 a depuis lors entrepris des essais en mer.

Le lancement d'un nouveau yacht par le chantier Wally est toujours un événement, aussi, la mise à l'eau du Wally 50, le 11 novembre dernier, chez MaxiDolphin, a t-elle constitué un événement en soi !

Dans la gamme des motor-yachts de Wally, le Wally 50 s'intercale entre les 47 et 55 pieds.

Son design, toujours aussi impressionnant, est signé Wally - Luca Bassani, qui ont su décliner le concept de ces gros Day Boats avec le talent qu'on leur connaît, et qui a souvent inspiré nombre de chantiers concurrents...

Le plan de pont extérieur se caractérise par un plain pied, de la proue à la poupe, recouvert de teck, organisé en deux espaces de vie : un premier, situé à l'avant, qui se présente comme un salon convertible en solarium disposant d'un tau rétractable, et le second, situé au niveau du poste de barre, protégé par un vaste pare-brise en biseau et un hard-top en carbone, qui accueille, outre le poste de pilotage, une cuisine extérieure un carré et un bain de soleil.

A l'intérieur, le Wally 50 permet d'accueillir dans le plus grand confort, un couple et un membre d'équipage, dans un espace au design magnifiant le carbone ! Ce design d'une grande pureté est, rappelons-le, la signature du chantier !

Côté motorisation, le Wally 50 opte soit pour des IPS 600 Volvo (435cv) pour une vitesse maxi de 38 noeuds, soit pour des turbines Kamewa associées à des moteurs Yanmar de 530 chevaux, assurant dans ce cas une vitesse maxi de 42 noeuds, mais une plus faible autonomie.

Nous ne manquerons pas de publier sur ActuNautique.com, toutes les photos de Seawolf, à l'occasion d'un prochain photo reportage !


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Fiche technique du WALLY POWER 50

Longueur : 15,37 m
Largeur : 5,09 m
Tirants d'eau : 0,64 / 1,05 m
Déplacement : 12 tonnes
Carburant 2 500 litres
Eau 400 litres
Motorisation 1 :  2 x Volvo Penta IPS 600 (435 hp)
Motorisation 2 : 2 x 530 ch Yanmar jets
Architecte naval : Wally
Design : Wally / Luca Bassani
Homologation : Catégorie B

 

Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau
Le tout nouveau yacht Wally 50 a été mis à l'eau

Innovation : lancement en France du 1er service de propriété partagée et managée de bateaux de luxe

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Innovation : lancement en France du 1er service de propriété partagée et managée de bateaux de luxe

MonReveDeBateau.com se présente comme le premier service de «Propriété partagée et managée» de bateaux de luxe en France.

Ca bouge sur le web dans le domaine des services aux plaisanciers, et le lancement du site monrevedebateau.com illustre au mieux cette tendance.

A l'origine du projet, trois associés, Vincent LemesleRomain Gindre et David Steckar, bien connus dans le monde des services à la plaisance au travers de la société Globe Skipper, qui en sont venus à un constat finalement assez simple : face à des plaisanciers qui consacrent moins de budget à leur bateau, pour pratiquer d'autres loisirs et  qui sont rebutés par un ratio coût/temps d'utilisation trop élevé, l'économie des loisirs nautiques doit être repensée.

Ce d'autant plus que les personnes souhaitant acquérir un bateau, qu'il s'agise d'un voilier ou d'un bateau à moteur, manquent de temps pour préparer leurs navigations et entretenir leur bateau, et que bien souvent, leur rêve de bateau cesse du fait de l'appréhension de la mer et du manque d'expérience.

Face à ces constats, les 3 associés ont donc imaginé une solution haut de gamme de propriété partagée et managée appliquée au nautisme, assez similaire en pratique à ce qui existe déjà dans le domaine des jets privés et de la grande plaisance mais aussi dans celui des... cargos !

Ce avec un objectif : que les propriétaires des bateaux ainsi achetés et gérés, profitent de tous les avantages de la copropriété, sans ses inconvénients !

Ni gestion locative, ni temps partagé

La propriété partagée et managée se veut être totalement différente d'une gestion locative ou d'un temps partagé selon ses initiateurs. 

Comprenant des prestations habituellement réservées à une élite, cette offre globale consiste dans une acquisition réelle d'un bateau, et la mise à dispostion de ses copropriétaires de services rendus accessibles grâce à l’optimisation des coûts liés à l’achat du bateau et à l’orchestration de la propriété partagée. 

Parmi les avantages de ce service d'un genre nouveau mis en avant pas ses initiateurs, notons la possibilité pour l'acquéreur d'opter pour un bateau plus grand que ce qu'il pensait initialement acquérir pour le même budget, une diminuton des frais annuels de fonctionnement, la possibilité de disposer d'un équipage dédié, un service de concierges spécialisés dans le nautisme, disposant d'un réseau international...

En bref : profiter plus de son bateau, sans éprouver le stress inhérent à ce type d'investissement et gérer un véritable programme de navigation en toute sécurité, au plus juste coût !

4 niveaux de Propriété Partagée et Managée sont proposés par monrevedebateau.com, à savoir 25%, 50% 75% ou 100%, chaque propriétaire choisissant son investissement et son bateau. En permettant de partager les frais avec les autres propriétaires, le service multiplie ainsi d’autant ses capacités financières pour vivre pleinement son rêve de bateau. 

Le site monrevedebateau.com sera officiellement lancé le 5 décembre prochain, à l'occasion du Nautic de Paris.

Innovation : lancement en France du 1er service de propriété partagée et managée de bateaux de luxe

Mystère - saine et sauve, une famille de naufragés disparaît en laissant un faux nom

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Mystère - saine et sauve, une famille de naufragés disparaît en laissant un faux nom

Le mystère le plus entier demeure au Texas, après la disparition d'une famille de 9 personnes, sauvée d'un naufrage 3 semaines auparavant.

Tout a débuté il y a 3 semaines, quand les Coast Guards sont venus récupérer les 9 passagers (2 parents et leurs 7 enfants, dont un bébé de 1 an) d'un voilier en train de sombrer à Galveston Bay.

Trois semaines plus tard, la famille a disparu sans laisser d'adresse, en laissant derrière elle une fausse identité : ils avaient déclaré lors du naufrage avoir laissé leurs pièces d'identité à bord !

Selon les autorités, cette famille pour le moins étrange avait déclaré aller aux Iles Vierges, avant de se corriger en indiquant qu'ils se dirigeaient vers le Mexique !

Le début de l'enquête vient de révéler que le voilier familial, toujours échoué à Galveston Bay - les autorités ne peuvent pas y toucher pendant 20 jours - avait été payé cash, 6 jours avant le naufrage, auprès d'un revendeur de Kemah, en donnant encore une fausse identité.

Pour le moment, les autorités souhaitent rentrer en contact avec cette famille pour savoir ce qu'il en est,  et leurs intentions quant à leur voilier, qui pourrait représenter un danger dans la baie.

Tara Méditerranée : la Grande Bleue envahie de plastique

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Tara Méditerranée : la Grande Bleue envahie de plastiqueTara Méditerranée : la Grande Bleue envahie de plastique

Le voilier d’exploration Tara de retour à son port d’attache Lorient ce 22 novembre vient de clore avec succès son expédition en mer Méditerranée réalisée de mai à novembre 2014.

Cette expédition comportait un volet scientifique relatif à la pollution plastique flottant en surface et un volet de sensibilisation sur les nombreux enjeux environnementaux liés à la Méditerranée.
La stratégie d’échantillonnage de l’expédition Tara Méditerranée était de prélever au large mais aussi près des côtes, près des embouchures de rivières et dans les ports afin d’étudier l’influence exercée par le milieu terrestre. 

À chaque station de prélèvements, des échantillons ont été collectés en surface au moyen de filets spéciaux. Les échantillons collectés seront destinés à l'identification chimique du plastique collecté, à l’analyse microscopique et à l’étude de la colonisation du plastique ainsi qu’à l'étude de l’interaction entre le zooplancton (la base de la chaine alimentaire marine) et le plastique.

Les analyses des échantillons débuteront en décembre et les premiers résultats sortiront à partir du printemps 2015. Mais les premiers constats de Tara Méditerranée sont édifiants !



 
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Selon le directeur scientifique de Tara Méditerranée, Gaby Gorsky (CNRS/UPMC) et la coordinatrice scientifique de Tara Méditerranée, Maria Luiza Pedrotti (OOV CNRS/UPMC), "Des fragments de plastique ont été trouvés à chaque relevé de filet et cela de l’ouest à l’est de la Méditerranée. Avec une concentration de plastique plus importante observée devant les grandes villes mais également avec des concentrations non négligeables en haute mer." 

Martin Hertau l’un des deux capitaines de Tara le confirme sur ActuNautique.com : "Certaines zones que l’on pensait d’avantage épargnées car très éloignées des grandes villes sont aussi touchées, c’est le cas par exemple d’une zone entre la Crête et la Tunisie ". 

Selon François Galgani, chercheur à l’Ifremer "La mer Méditerranée connaît, en moyenne, les densités de plastiques les plus importantes au monde : 250 milliards de micro-plastiques en Méditerranée."

L’expédition Tara Méditerranée, la dixième pour Tara depuis 2003, a fait escale dans 13 pays et réalisé 20 escales (En France, Italie, Monaco, Albanie, Grèce, Liban, Chypre, Malte, Tunisie, Algérie, Espagne, Maroc et Portugal). Ainsi, près de 12 000 personnes et scolaires du pourtour méditerranéen ont pu visiter la goélette.

Cinq ateliers d’échanges ont été menés avec des acteurs locaux, experts et décideurs, dans le but de stimuler la coopération internationale et les projets sur place, parce qu’il est urgent d’avancer vers des solutions comme l’assainissement des eaux, la gestion des déchets, l’innovation pour un plastique biodégradable, la promotion du tourisme durable, l’éducation ou la création d’Aires Marines Protégées. 

Un “Livre Bleu” qui sortira en mars tâchera de mettre en avant les initiatives et solutions locales et dressera un bilan des échanges menés lors de la mission Tara Méditerranée.

Incroyable, ce projet japonais de ville flottante semi-immergée

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Incroyable, ce projet japonais de ville flottante semi-immergée
Incroyable, ce projet japonais de ville flottante semi-immergéeIncroyable, ce projet japonais de ville flottante semi-immergéeIncroyable, ce projet japonais de ville flottante semi-immergée

Le groupe de BTP nippon Shimizu Corporation vient de lever le voile sur un projet étonnant de ville globe-flottante, Atlantis.

Le postulat de base de ce projet est qu'au lieu d'aller coloniser l'espace, les humains pourraient déjà s'intéresser davantage aux océans, vierges de tout peuplement !

Ce d'autant plus que les fonds marins regorgent de richesses minières inexploitées, et que le différentiel de température entre la surface et le fond de l'océan peut participer à la création d'énergie.

En partant de ces différents principes, Shimizu Corporation vient de présenter Atlantis, un concept de ville globe, flottante, semi-immergée, destinée à accueillir 4000 habitants et 1000 visiteurs, sorte de gros ballon dont seul le sommet émergerait des flots, et qui serait relié au fond par une structure hélicoïdale de 600m de diamètre, pouvant faire jusqu'à 15 kilomètres de délié, ancrée à 4000m de profondeur.

La ville serait logée dans la sphère, en partie translucide (bonjour le nettoyage...), et le fond marin accueillerait une base d'exploitation minière, centrée notamment sur les métaux rares !

En cas de tempête, la ville pourrait plonger en descendant le long de son axe hélocoïdal, afin de ne pas subir les mouvements de houle.

L'énergie de l'ensemble serait obtenu en utilisant des micro-organismes appelés "méthanogènes", qui permettraient de convertir en méthane le dioxyde de carbone (CO2) capturé à la surface. De l'énergie additionnelle serait en outre produite par différentiel thermique entre le fond et la surface de l'océan.

Le coût du projet est estimé à 20 milliards d'euros et les technologies utiles à sa mise en oeuvre pourraient être prêtes dès 2030.

Shimizu Corporation n'en est pas à son coup d'essai dans le domaine des projets futuristes, pusque le géant du BTP a déjà présenté un projet de ville flottante et un projet de base lunaire, pour le moins réalistes !

Qui a donc dit que le BTP ne savait pas faire rêver ?


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Black Pepper lance un voilier de 18m, le Code 2

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Image et conception : Marc Lombard Yacht Design Group
Image et conception : Marc Lombard Yacht Design GroupImage et conception : Marc Lombard Yacht Design Group
Image et conception : Marc Lombard Yacht Design GroupImage et conception : Marc Lombard Yacht Design GroupImage et conception : Marc Lombard Yacht Design Group

Image et conception : Marc Lombard Yacht Design Group

Le Code 2, Black Pepper vient compléter une gamme à succès comprenant déjà les Code 0 et Code 1.

En quelques années à peine, le chantier Black Pepper a su se créer une image et se développer, sur le secteur très exigeant des Day Sailers (Code 0) et Weekenders (Code 1) de luxe.

Avec le nouveau Code 2, Black Pepper complète logiquement cette gamme vers le haut, avec un navire amiral présenté comme un "Vintage Racer-Cruiser", à savoir un voilier hautement performant, d'une grande élégance.

Avec 18m de long, le Code 2 reprend une carène haute performance, similaire dans le concept à celle des ses deux petits frères, à savoir directement insirée des racers de type Imoca 60 !

Au programme du code 2, la course offshore bien entendu mais aussi le voyage... rapide !

Question silhouette, les aficionados du chantier ne seront pas chamboulés par ce nouveau modèle, qui allie avec bonheur le moderne à l'ancien, qu'il s'agisse de design ou de matériaux. Avec 4 cabines, 3 salles de bain, une finition de haut niveau et un garage à annexe, le Code 2 vise clairement de marché des yachts à voile.

Le salon de cockpit en fera en outre un voilier plaisant en croisière et à l'escale.


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Fiche technique du CODE 2 de Black Pepper

Longueur : 17,50 m
Largeur : 5,30m
Déplacement : 10 T
Draught: 1, 76 / 4, 60 m
Ballasts : 2x1500 litres
Sail area downwind: 410 m2
Quille : 4,5 t
Engine: IIOHP
Construction : Sandwich Carbone / Epoxy
Mat, Bôme, Bout dehors Carbone Conception
Infusion post cuite Greement longitudinal Textile
Constructeur & Designer : Black Pepper
Architecte : Marc Lombard Yachts Design
Solutions techniques : Armel Tripon

Black Pepper lance un voilier de 18m, le Code 2
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